10 et 11/08/2010 : Darwin – Katherine – Kununurra
Notre hôtel – restaurant ambulant !
Aujourd’hui, nous récupérons le camping-car chez le loueur, et nous écoutons attentivement les explications et recommandations, sans oublier également que l’on roule à gauche en Australie !
Petit tour d’horizon du véhicule : tout est fait pour que ce soit pratique, le toit se soulève libérant de l’espace afin d’être debout mais aussi permettre d’installer le lit pour la nuit (lit de 190 de large, super !). Ensuite ravitaillement au supermarché du coin et…
À nous l’Aventure !
Corroboree Billabong dans le Territoire du Nord, les plaines inondables de la rivière Mary abritent une faune abondante !
Le Kimberley
Direction Katherine, 350 kms, de quoi se mettre en jambes !…
La route est belle, nous croisons peu de monde si ce n’est des road-trains toujours aussi impressionnants.
Nous retrouvons la couleur rouge des paysages que nous aimons. Nous sommes étonnés de voir d’énormes baobabs au bord des routes.
Cela apporte une autre touche originale au Nord de l’Australie !
Première nuit dans notre « hôtel-restaurant » ambulant à Katherine.
Après un sommeil réparateur, nous continuons vers Kununurra (520kms), traversant le Gregory NP. Kununurra se trouve dans l’Ouest Australien, il y a un décalage horaire (1h30 en moins par rapport au Territoire du Nord) et il existe une « frontière quarantaine » entre le Territoire du Nord et cette région.
Le passage entre les 2 états et les restrictions de la Quarantaine. En effet, l’Ouest est exempt de tout insectes, maladies ou parasites sur les plantes, et nous sommes contraints de passer cette frontière sans aucun produits frais. Le contrôle est strict et le camping car a d’ailleurs été bien fouillé ! Heureusement, nous avions pris nos précautions.
Nous arrivons en début d’après midi à Kununurra. Nous allons au centre d’informations réserver un vol panoramique au-dessus du Purnululu NP et du lac Argyle pour demain.
Nous faisons la connaissance d’un couple de jeunes français avec qui nous sympathisons. Après un ravitaillement nécessaire, nous nous installons au camping. Nous constatons que la crise financière est passée par là : les prix ont « bigrement » augmenté (par rapport à notre dernier voyage en 2007), ils sont quasiment identiques aux prix français.